Correction - activités
CORRECTION
1. Transformons les phrases suivantes de manière à introduire :
A- Des subordonnées circonstancielles de but
a. Le médecin incite les jeunes à l’utilisation des préservatifs afin d’éviter toute sorte d’IST.
→ Le médecin incite les jeunes à l’utilisation des préservatifs afin qu’ils évitent toute sorte d’IST .
b. De nos jours, il faudrait être aveugle pour ne pas voir le développement inquiétant de la pauvreté.
→ De nos jours, il faudrait être aveugle pour qu’on ne voie pas le développement inquiétant de la pauvreté.
c. Les paysans se déplacent pendant deux ou trois jours à pied ou en charrettes pour vendre leurs produits en ville.
→ Les paysans se déplacent pendant deux ou trois jours à pied ou en charrettes pour qu’ils vendent leurs produits en ville .
d. L’homme travaille durement afin de trouver le bonheur.
→ L’homme travaille durement afin qu’il trouve le bonheur .
e. Cette méthode est adoptée afin d’être utilisée efficacement.
→ Cette méthode est adoptée afin qu’elle soit utilisée efficacement.
B- Des subordonnées circonstancielles de cause
a. Fatigués, les travailleurs ne vont plus au champ.
→Comme les travailleurs sont fatigués, les travailleurs ne vont plus au champ.
b. La pluie tombe à torrents donc la route est boueuse.
→Puisque la pluie tombe à torrents , la route est boueuse.
c. Pierre reste à la maison aujourd’hui à cause de sa grippe.
→Pierre reste à la maison aujourd’hui parce qu’il a la grippe .
d. L’homme continue à dévaster la nature par conséquent la planète se réchauffe.
→ Etant donné que l’homme continue à dévaster la nature, la planète se réchauffe.
C- Des subordonnées circonstancielles de conséquence
a. Comme le temps paraît beau, les pêcheurs s’en vont vers le large.
→Le temps paraît beau si bien que les pêcheurs s’en vont vers le large .
b. Je prends mon parapluie parce qu’il pleut beaucoup.
→Il pleut beaucoup de telle sorte que je prends mon parapluie .
-Puisque la date de l’examen approche, les étudiants n’arrivent plus à s’endormir la nuit.
→La date de l’examen approche de telle manière que les étudiants n’arrivent plus à s’endormir la nuit.
c. Cet homme a été condamné à cause de son crime.
→ Cet homme a commis un crime si bien qu’il a été condamné
2. Faisons subir la transformation infinitive aux phrases suivantes
Exemple : Avant que vous ne partiez, venez donc prendre le thé chez moi.
→Avant de partir, venez donc prendre le thé chez moi.
a. Après que Lucia eut terminé ses devoirs, sa maman l’autorisa à descendre dans le jardin rejoindre ses amis.
→Après avoir terminé ses devoirs , sa maman autorisa Lucia à descendre dans le jardin rejoindre ses amis.
b. Avant que je renoue avec lui, j’exige qu’il me présente des excuses.
→Avant de renouer avec lui, j’exige qu’il me présente des excuses.
c. Il faudra bien compter une dizaine de jours afin que je sois en mesure de vous répondre.
→-Il faudra bien compter une dizaine de jours afin d’être en mesure de vous répondre .
d. Après qu’elle eut commencé à apprendre le métier de coiffeuse en province, Marie vint à Paris.
→ Après avoir commencé à apprendre le métier de coiffeuse en province , Marie vint à Paris.
3. A partir de chaque groupe de deux indépendantes, faisons une seule phrase en utilisant un pronom relatif. L’ordre des deux phrases doit être conservé
a. La maison est très délabrée. Je suis née dans cette maison.
→ La maison où je suis née est très délabrée.
b. Le jeu les amuse fort. Ils jouent à ce jeu.
→ Le jeu auquel ils jouent les amuse fort.
c. Les gonds de la porte doivent être huilés. Cette porte grince.
→La porte dont les gonds doivent être huilés grince.
d. J’avais une fiancée. Le père de ma fiancée était un instituteur.
→ J’avais une fiancée dont le père était un instituteur.
e. Le docteur s’appelle Marc. Je suis allé chez ce docteur.
→ Le docteur chez qui je suis allé s’appelle Marc.
4. Distinguons les pronoms relatifs des pronoms interrogatifs (de l’interrogation indirecte)
a. Je me demande qui a enlevé le moteur du bateau.
→qui : pronom interrogatif
b. J’ai trouvé qui me fournira cet article.
→qui : pronom interrogatif
c. Savez-vous qui le lui a dit ?
→ qui : pronom interrogatif
d. On a demandé sur laquelle ils étaient montés.
→laquelle : pronom interrogatif
e. Il a trouvé la pierre sur laquelle il était monté.
→laquelle : pronom relatif
5. Remplaçons les points par le pronom relatif qui convient
a. De nombreux témoins ont vu l’échafaudage qui basculait.
b. Le client dont je t’ai parlé n’est jamais revenu.
c. C’était l’époque où la bise devient aigre.
d. Les preuves qu’il apporte n’ont convaincu personne.
e. Nous avons tous remarqué le ton avec lequel il vous a répondu.
6. Faisons accorder les participes passés entre parenthèses
a. La jeune fille qui est sortie est ma sœur.
b. Les camions que nous avons dépassés roulaient très vite.
c. Les chats ont dévoré la viande que je leur ai apportée.
d. C’est elle qui m’a ouvert.
e. Je connais l’inspecteur qui les a arrêtés.
6. Distinguons les propositions subordonnées relatives des propositions subordonnées complétives
a. Les campeurs attendaient que la pluie cesse.
→ que la pluie cesse : proposition subordonnée complétive
b. Je crois qu’il est rassuré.
→ qu’il est rassuré : proposition subordonnée complétive
c. Le président, que l’on n’avait pas revu à la télévision depuis deux mois, s’est montré rassurant.
→ que l’on n’avait pas revu à la télévision depuis deux mois : proposition subordonnée relative
d. Il a accepté que je ne vienne pas.
→ que je ne vienne pas : proposition subordonnée complétive
e. Jaime bien la robe qu’elle porte.
→ qu’elle porte : proposition subordonnée relative
8. Analysons en propositions
a. Les enfants ont vu le feu s’éteindre.
→ Les enfants ont vu : proposition principale
→ le feu s’éteindre : proposition subordonnée infinitive
b. La jeune fille sent que sa robe se déchire.
→ La jeune fille sent : proposition principale
→ que sa robe se déchire : proposition subordonnée complétive
c. La classe finie, Sarah rentre immédiatement à la maison.
→ La classe finie : proposition subordonnée participiale
→ Sarah rentre immédiatement à la maison : proposition principale
d. Jean travaille à l’usine qui fabrique des tracteurs.
→ Jean travaille à l’usine : proposition principale
→ qui fabrique des tracteurs : proposition subordonnée relative
f. Je me demande pourquoi il m’a fait ça.
→ Je me demande : proposition principale
→ pourquoi il m’a fait ça : proposition subordonnée interrogative indirecte
g. Le bébé pleure jusqu’à ce qu’on le prenne dans les bras.
→ Le bébé pleure : proposition principale
→ jusqu’à ce qu’on le prenne dans les bras : proposition subordonnée circonstancielle de temps
h. Cette nouvelle avait abattu son courage et il restait désemparé.
→ Cette nouvelle avait abattu son courage : 1ère proposition indépendante
→ il restait désemparé : 2ème proposition indépendante coordonnée à la 1ère proposition indépendante par la conjonction de coordination de coordination « et »
i. Marie écoute la radio, Marc regarde la télévision.
→ Marie écoute la radio : 1ère proposition indépendante
→ Marc regarde la télévision : 2ème proposition indépendante juxtaposée à la 1ère proposition indépendante par la virgule «, »
9. Transformons les phrases simples en phrases complexes
a. Sylvie est tout essoufflée car elle a trop couru.
→ Sylvie est tout essoufflée parce qu’elle a trop couru
b. Il avait plu c’est pourquoi la route était inondée.
→ Il avait plu si bien que la route était inondée
c. Il est parti vers midi afin d’éviter les encombrements.
→Il est parti vers midi afin qu’il évite les encombrements.
d. En cas de pluie, je m’abriterai sous les arbres.
→ S’il pleut, je m’abriterai sous les arbres
e. Il fait le fanfaron mais il crève de peur.
→ Il fait le fanfaron même s’il crève de peur.
10. Mettons les verbes entre parenthèses u mode et au temps convenables
a. Bien qu’il (être) très timide, Luc a accepté d’être élu délégué.
→ Bien qu’il soit très timide, Luc a accepté d’être élu délégué
b. Au cas où vous (s’absenter), prévenez-moi.
→ Au cas où vous vous absenteriez, prévenez-moi.
c. Si je (avoir) ce livre, je te le prêterais.
→ Si j’avais ce livre, je te le prêterais
d. Donnez-moi votre numéro de téléphone, que je vous (prévenir) rapidement.
→ Donnez-moi votre numéro de téléphone, que je vous prévienne rapidement
e. J’ai une écriture exécrable que personne ne (pouvoir) me lire.
→ J’ai une écriture exécrable que personne ne peut me lire.
f. Je n’irai pas parce qu’il (être) trop tard.
→ Je n’irai pas parce qu’il est trop tard.